(sans titre n°2)
des lambeaux d’chair dans la terre
que je creuse
des bouquets de bras réfléchis dans le miroir aux alouettes
on pense que ça ne finira jamais
que les coups du destin
sont des coups d’os dans l’épée
« les prêtres il faut les fusiller »
c’est sûr
je suis le nègre du poète que je ne serai jamais